Vive le mail
C’est en voyant s’amonceler la pile de courrier sur mon bureau, et en effectuant le parallele avec mes diverses boites aux lettres electroniques, que je remercie le seigneur d’avoir créé l’email. Au moins, avec l’email, quand on ne le traite pas, il n’encombre pas votre espace…
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Hervé Kabla, ancien patron d’agence de comm’, consultant très digital et cofondateur de la série des livres expliqués à mon boss.
Crédits photo : Yann Gourvennec
… tout dépend « l’espace » considéré!
Si Gmail a de remarquablement splendide et efficace cette interface très pratique et épurée, le moindre numéro en gras devant la catégorie « Inbox » encombre ce que j’ai d’espace virtuel, brisant quelque le peu d’harmonie qui réside dans ma boite mail… si bien que je préfère lire un mail rapidement et lui coller une « étoile » pour y revenir que de le laisser « non-lu ».
L’email a de magique que l’espace en question est « masquable » à la demande, une sorte de « sac de Merlin » où on pourrait faire rentrer autant de choses que l’on veut, les seuls endroits où le désordre se trouve finalement c’est une petit pavé appelé « disque dur » et un petit recoin de nos consciences, mais tout ceci n’est pas visible à nos collaborateurs… ne serait-ce pas là un point d’une importante particulière?
Disons qu’au prix du m2 en region parisienne, mieux vaut avoir 532 mails en attente, que 532 lettres à ouvrir dispersées sur son bureau… 😉