Valse avec Fatih
La sympathique équipe turque, capable de trois come-backs surprenants face à la Suisse, la République Tchèque et la Croatie, n’a pu se défaire du real-football allemand et de son diable blond, Bastian Schweinsteiger, sorte de spectre de Karl Heinz Ruemenige.
La sélection de Fatih Terim aura quand même fait illusion pendant près de 90 minutes, en ouvrant le score, puis en revenant sur l’Allemagne à cinq minutes de la fin de la partie. Et ses joueurs vedettes, Sabri, Altintop et Sehmi Sentürk ont un style de jeu offensif sans agressivité dont on ne se lasse pas. Mais contrairement aux trois précédents adversaires de la Turquie, l’Allemagne a des ressources quasi-inépuisables.
Dommage, voir la Turquie en finale quatre années après la victoire de la Grèce, cela aurait eu un certain parfum oriental très agréable…
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Hervé Kabla, ancien patron d’agence de comm’, consultant très digital et cofondateur de la série des livres expliqués à mon boss.
Crédits photo : Yann Gourvennec