Santa et Cie
Santa et Cie n’est peut-être pas le film du siècle, mais c’est un divertissement acceptable pour tout public. Et comme c’est un film de Noël, il y a de fortes chances qu’il réapparaisse régulièrement sur les écrans de télévision, aux alentours des fêtes de fin d’année, en alternance avec « Maman j’ai raté l’avion », « Gremlins » ou « le Père Noël est une ordure ».
Alain Chabat campe ici un Père Noël Santa Claus à la recherche que 92 000 tubes de vitamine C pour soigner son armée de lutins, chargés de concevoir et d’emballer les cadeaux, victimes d’une épidémie. Il débarque par haard au sein d’une famille, père avocat – mère vendeuse de sapins à Rungis – qui va l’aider à passer commande des tubes en question sur Amazon, pour pouvoir livrer les jouets en temps et en heure.
Rien de grandiose, mais Santa et Cie propose un bon divertissement familial. C’est du Alain Chabat pur jus: calembours à répétition, comique de situation, jeux de mots et références cinématographiques assumées. La première scène, au pays du Père Noël, est réellement réussie, et rappelle par certains aspects, l’univers des Oompa Loompa dans la version de Charlie et la chocolaterie réalisée par Tim Burton.
Allez, joyeux Noel.
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Hervé Kabla, ancien patron d’agence de comm’, consultant très digital et cofondateur de la série des livres expliqués à mon boss.
Crédits photo : Yann Gourvennec