Michael Greilsammer
Artiste israélien francophone (*), Michael Greilsammer joue une musique aux influences variées, qui mêlent reggae, folk, musique celtique et bien sûr folklore israélien. Je l’ai découvert chez des amis au hasard d’un CD, puis hier soir en concert dans le cadre du magnifique petit théâtre de Gan HaPaamon.
Parfum de chèvrefeuille et de jasmin, douce fraîcheur de la nuit à Jérusalem, Michael Greilsammer ne pouvait choisir un endroit plus sympathique pour se produire en public en plein été. En compagnie de 4 autres musiciens (basse, huitare, batterie, claviers) et son épouse Shimrit Dror, il a interprété quelques unes de ses propres chansons, ainsi que deux reprises, l’une de Bob Marley et l’autre du groupe Louise Attaque.
Le truc de Greilsammer, c’est le violon, qu’il manie tantôt comme une guitare, tantôt comme un véritable violon, en accompagnement ou pour des solos endiablés. Il n’y a qu’à voir l’état de son archet à la fin du concert, pour imaginer la fougue de son jeu.
Les disques de Michael Greilsammer sont distribués par Naïve (qui produit également Carla Bruni…).
(*) Il est le fils d’Alain Greilsammer
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Hervé Kabla, ancien patron d’agence de comm’, consultant très digital et cofondateur de la série des livres expliqués à mon boss.
Crédits photo : Yann Gourvennec